Premère vivite

J'était pésiblement assise dans la voiture de mes parents qui me conduisait à ma nouvelle école qui serai aussi mon nouveau chez moi . Le trajet fut long mais enfin je vit la grande maison, j'ouvrit la portrière et posa un pied sur par terre puis un autre je regarda partout autour de moi c'était très jolie ici . Je dis orvoir à mes parents et ouvrit la porte de la grande maison je prit mes valises et commenca à monter les escaliers mais comme j'était encore dans mais pensée je loupa une marche et en dévalla quelques une . On entendit sortir un petit "Aiee" mes valises elles avaient dévallées tout les escaliers je voulut me relevez pour allez les rechercher mais une grosse douleur se fit sentir je m'écroula rapidement à cause de la douleur . Mais je n'abandonnerai pas aussi faccilement je descendit donc les marches sur les fesse et je récupéra mes valises, mais il restait encoe à tout rémonter . Je rééssaya mais rien à faire il fallait que quelqu'un vienne . je retsa donc collée au mur et des petites goutte d'eau argentée coulèrent de mon visage et je repensa à mes amis mon petit copain que j'avait dut quitter pourtant j'était habituer à ce mode de vie qui ne m'allait pas du tout . Et pourtant...cette douleur m'allait toujours droit au coeur et j'avait maintenant décidé de ne plus avoir d'amis pour ne plus avoir à resubir sa ,mais peut être que mon caractère changerait au fil des jours...

Lena terminait tout juste ses devoirs du lendemain quand un énorme "Aïe" provenant de l'escalier la fit sursauter. Elle bondit de sa chaise sans hésiter et descendit les marches pour y voir une jeune femme, assise contre le mur, qui, visiblement, se tordait de douleur. Lena s'agenouilla à ses côté et posa une main sur son front brûlant.

- Je reviens ! s'écria-t-elle avant de se lever précipitament pour aller dans la cuisine.

Elle prit un torchon, l'imbiba d'eau froide et l'essora pour revenir vers sa nouvelle colocataire. Elle posa sa compresse improvisée sur son front et déclara, inquiète :

- Vous pouvez marcher ? Il vaudrait mieux que vous alliez vous allonger dans le salon. Au fait, je suis Lena Marlitz, ta colocataire.

Je commencai à avoir mal à la tête et mon pied gonflait de plus en plus . Par chance une gentille jeune jemme passa par là elle s'en alla quelques minutes avant de revnir avec un torchon .Elle se présenta et un sourire pparut sur mon visage .

Merci...je pourrai marcher ...sinnon moi c'est Fanny lostania je suis heureus que tu sois ma colocatrice . Je viens d'arrivez mais j'ai loupez une marche et voilà comment je me suis fait mal .

Fany essaya ensuite de se relevez elle s'appuya ensuite contre le mur mais on voyait sur son visage qu'elle avait mal .

[désolée j'ai vraiment pas d'inspi là xd]

[Lena a mal ou c'est toi ? 0_0 J'éditerais...]

[mdr désolée erreur de frappe j'tape trop vite xd]

[tkt ^^]

Lena hocha la tête et se releva. Elle enroula un bras protecteur autour de son cou et lui intima de s'appuyer si nécessaire. Elle lui servit de béquille durant le court trajet et l'aida à s'allonger sur le canapé.

- J'aurais préféré te rencontrer dans d'autres circonstances, répliqua-t-elle en faisait allusion à sa blessure, je vais appeler un médecin !

La jeune femme se leva et appela le médecin comme elle venait de l'affirmer puis retourna auprès de sa nouvelle colocataire.

- C'est bête de se faire mal dès son arrivée, commenta-t-elle avec gentillesse.

Lena lui sourit amicalement et vérifia sa température en fronçant les sourcils. Depuis la naissance de son fils, elle était extrêmement vigilante aux premiers gestes.

- Je crois que tu as de la fièvre... finit-elle par dire après un moment.

Moi aussi car c'est position me mais un peu mal à l'aise vis à vis de toi car nous venons de nous rencontrer et déjà tu doit supporter une blesser !

Je m'appuya contre Lena mais pas trop car je ne voulait pas non plus faire mal à la jeune femme . Je m'allongea sur le canapé du salon et laissa Lena apeller le médecin .

Oui mais maladroite comme je suis il fallait bien que cela tombe un jour .

Effectivement je devait avoir un peu de fièvre car mon mal de tête devenait de plus en plus important . Moi je me demandai quand le médecin arriverai, ne sachant pas quoi dire je demanda :

Tu connais du monde ici ?

Je lui fit un grand sourire .

- Ne t'inquiètes pas pour moi, j'ai supporté bien pire à mon arrivée !

*Enfin mon retour...*
Son coeur se serra en songeant à la dispute qu'elle et Nicolas s'étaient livrée. S'ils ne s'étaient pas reprochés des actes datant de deux ans, ils seraient sans doute ensemble à cette heure-ci. Mais il n'était pas question de laisser un tel silence aussi longtemps sans rien dire, Lena n'avait pût calmer ses ardeurs et elle avait déversé sa colère sur un être cher qui l'avait pourtant blessée. Elle fut obligée de sortir de ses pensées car Fanny lui posait une question.

- Ah euh oui... Je connais le propriétaire - inutile de préciser que c'était plus intime - et mon frère qui vient d'arriver. Sinon je croise de nouvelles têtes chaque jours ! Tu vas te plaire ici, j'en suis convaincue.

Lena sourit brièvement et porta son attention sur le grand piano d'un noir sobre et élégant puis se retint de sauter du canapé pour jouer un morceau. Notamment un morceau en particulier qu'elle avait composé pour son amour perdu.

Je la regarda dans les yeux voyant qu'elle avait un peu de peine quand on parlait du propriétaire je me sentit d'un coup coupable d'avoir posé cette stupide question .

Désolé, n'hésite pas à me dire si mes questions sont trop indiscrète mais je suis parfois bien trop curieuse . Je suis sur que t'est problème se règleront tu est vraiment quelqu'un d'agréable et de gentil , mais tu as de la chance d'acoir des proches ici moi j'ai dut tout quitter même mon petit copain j'ai fait la rupture d'un coup n'osant pas lui avouer que je partait définitivement...

Cette fois-ci c'était au tour de fanny de se sérrer le coeur ,mais il ne fallait pas se lamenter de toutes façon on ne pouvait plus rien pour son ancienne histoire d'amour . Mais en voyant Lena regarder le piano avec envit j'eut une idée pour nous détendre un peu .

Tu sais jouer du piano ? j'aodre la musique et cela me ferait très plaisir de t'entendre jouer
.

- Ce n'est rien, c'était juste une amourette ! répliqua-t-elle un peu trop vivement.

Pourtant, même Lena sentait que ses mots sonnaient faux. Sa voix s'était brisée sur le dernier mot et son coeur lui serrait tellement qu'elle se sentait étouffée. Une amourette avec qui elle avait eû une enfant... Elle détourna le regard, honteuse d'avoir oser dire ce piètre mensonge puis regarda l'instrument. Un morceau... cela faisait plus de deux ans qu'elle n'avait pas effleuré la touche d'un piano malgrès les nombreuses partitions créées.

- Je reviens ! s'écria-t-elle en se levant du canapé.

La jeune femme avala les marches et fouilla rapidemment dans sa chambre avant de trouver sa chemise qui contenait ses précieuses partitions. Elle revint près de Fanny et s'asseya près d'elle sur le canapé.

- Ces partitions reflètent ma vie, expliqua-t-elle, j'en ai des douces, des très belles - amoureuses -, des tristes, des dramatiques... Elles sont tout ce que j'ai ressenti durant ma vie. Regarde !

Lena sortit une partition de sa pochette protectrice puis la posa devant les yeux de son amie avec une extrême prudence comme s'il s'agissait d'une oeuvre d'art.

- Je l'ai composée quelques jours après la naissance de mon fils, quand j'étais encore allongée à la maternité. Elle est sûrement très belle, je ne pourrais te dire, je ne l'ai jamais jouée.

Lena la replaça dans son film plastique puis en prit une autre qu'elle disposa de la même manière que la précédente.

- Celle-ci est la musique de mon médaillon, dit-elle en prenant son précieux pendentif dans entre ses doigts, il ne me quitte jamais.

Lena rangea à nouveau la partition et referma la chemise. Elle la tendit à son amie et la pria du regard d'en prendre soin.

- Choisit celle que tu veux, je la jouerais. Tu pourras me poser des questions sur l'histoire qu'elle comporte, je te la raconterais.

La pianiste sourit amicalement et regarda Fanny avec un regard tendre. Pas de doute, elle était une amie idéale, sa confidente avec le temps sûrement...

Je regarda attentivement ses partitions . Un sourire doux et tendre s'afficha
le juene femme était très sentimentale sa se sentait .

Une amourette qui à peut être quand même fait partit de ta vie ...

Je regarda une nouvelle fois les partitions avant de reprendre .

Celle de ton enfant m'intrigue tout particulièrement elle à l'air vraiment magnifique
j'aimerai que tu me la joue ...

J'allait commencer à me taire quand le médecin arriva , il avait l'air vraiment très préssé et nous adressa
vite fait un petit "bonjour mesdemoiselles " avant de regarder ma jambe avec un air intrigué . Quelques minutes
s'écoulèrent et il dit :

C'est une entorse ,mais rassurez vous dans quelques mois vous ne sentirez plus rien .

Il me posa une bande et me donna des béquilles puis il me montra la facture de 70 euros (en vrai c'est surement plus cher mais bon xd) je le paya et lui dit merci avant qu'il reparte .

Lena sourit, prit doucement la chemise de ses mains pour en sortir la bonne partition et rendit la chemise. Elle posa la partition à l'endroit prévu mais ne s'installa pas au piano car la sonnette d'entrée avait retentit. Elle alla ouvrir et pria la docteur d'entrer, ce qu'il fit. L'examen se passa en toute tranquilité avant que le professionnel ne doive s'en aller. Lena le remercia et le regarda filer avant de retourner près de son amie allongée sur le canapé.

- ça va mieux ? demanda-t-elle inquiète.

C'était plus fort qu'elle, son instinct maternel s'était accroît avec la naissance de son bébé. Elle aimait de plus en plus prendre soin des autres. Le piano pouvait bien attendre un peu...

Oui ne t'inquiète pas pour moi ... après tout ce n'est qu'une petite entorse de rien du tout .

Je rigola et regarda Lena dans les yeux , vec des yeux doux
je ne savait pas pourquoi mais j'était sur que cette jeune femme
deviendrzait surement ma meilleur amie ...m'enfin je tandit ensuite
délicatement le partition et dit en rigolant :

Tient l'artiste .

[désolée c'est court x)]

- Oh je n'en doute pas, tu dois être faite de béton armée !

Lena éclata de rire et s'installa au piano. Elle se retourna et avoua d'un air piteux :

- Je vais faire quelques exercices avant, ça évitera les mauvaises surprises dans le morceau...

Elle se tourna de nouveau vers l'instrument et s'échauffa les doigts avant de les poser sur les touches. Elle les caressa un instant puis fit quelques exercices, histoire de se remettre dans le bain. Elle eût une excellente surprise en constatant qu'elle n'avait pas tant perdu la main qu'elle ne le pensait. Cela dit, elle écorcha plusieurs notes de ses exercices de temps à autres... Après au moins cinq bonne minutes d'entrainement, elle fit un clin d'oeil à Fanny pour lui dire qu'elle allait commencer le morceau puis se replaç correctement tout en se concentrant.

Lena commença à jouer, la musique était douce, envoûtante, comme les musiques qui servaient à endormir les bébés le soir. Puis ça devint plus contemporain, plus doux, plus léger pour rapeler les gazouillements de bébé et la douceur de leur peau après le bain. Le morceau dura trois minutes et quand la jeune mère arrêta, des larmes roulaient le long de ses joues. L'image de Matthias était encrée dans sa tête, que faisait-il en ce moment ? Mangeait-il ? Dormait-il ? Prenait-il un bain ? Tant de moments gâchés par ses études... Lena avait faillit les abandonner pour se consacrer à son enfant mais ses parents l'en avait dissuadée. Que ferait-elle plus tard, sans métier et sans le père de l'enfant ?

- Excuse-moi, bredouilla-t-elle pour Fanny mais aussi pour son fils.

[t'inquiète, ça arrive ; )]

[Upinou !!!]